Chirurgie esthétique et intelligence artificielle: des espoirs et des illusions
1) Les apports positifs de l’intelligence artificielle
Pour moi l’intelligence artificielle a permis d’apporter une solution élégante en ce qui concerne l’écriture de livres d’articles scientifiques et la recherche d’informations et de bibliographie.
En effet l’accès à un corpus énorme de Data est rendu possible par l’intelligence artificielle, qui va rechercher dans des coins où je n’aurais pas pensé à fouiner des éléments de réponse et des auteurs qui ont écrit sur le même sujet, dont j’ignorais complètement l’existence et les travaux.
C’est un élément très positif en matière de rédaction scientifique non pas pour faire simplement un acte de copiage, mais surtout pour aller creuser en profondeur des éléments de réflexion de critique et de modification de la pensée unique qui caractérisait jusqu’à maintenant la conception d’un ouvrage qu’il soit à vocation purement scientifique ou bien pour éclairer une topique à visée grand public.
2) Les points négatifs de l’intelligence artificielle
Une fois sur trois environs j’ai constaté que mes questions entraîner des réponses totalement à côté de la plaque, et d’ailleurs certaines m’ont fait rire tellement elles étaient disproportionnées tout en gardant une petite coloration logique; mais cette logique était inutile dans les propos que je voulais discuter, tout en ayant à côté distrayant et qui me faisait ainsi fureté à côté de la route principale dont je ne souhaitais pas m’éloigner.
3) Quel serait les perspectives techniques en matière d’intelligence artificielle
J’envoie plusieurs qui pourraient être utilisable avec des avantages et des inconvénients:
– la retouche photographique de certaines dysmorphies faciales du nez qui enlaidissent le visage, ou des profils disgracieux, ou encore des signes de vieillissement du visage que l’on souhaite corriger de façon photographique(morphing préopératoire) pour illustrer un avant après possible à des patients curieux de leur avenir; mais pour cela il faudrait au préalable que les ingénieurs informaticiens fournissent les normes adaptées à l’intelligence artificielle, ce qui pour le moment n’est pas encore le cas.
– des réponses plus précises aux questions des patients pourraient être fournies en fonction des demandes élaborées par ceci aussi bien avant une opération qu’après; il faudrait pour cela créer un personnage chatbot, susceptible d’aider les patients inquiets en post-opératoire et ainsi d’éviter les surcharges d’appels téléphoniques. Là encore ce procédé reste à créer.
En conclusion un bel avenir s’ouvre à l’intelligence artificielle dans le domaine de la chirurgie esthétique, à condition qu’il puisse exister un partenariat avec les ingénieurs chargés de la conception des algorithmes, étroitement imbriqués avec des chirurgiens esthétiques qui serait intéressé par le sujet.